« Si m ta rive nan wout mwen kanpe, omwen Bondje ap wè mwen te eseye » : Le Cri de Frère Luckson depuis les Abords de la Fondation Zòn pa fè moun, et le « Ouiii » Inébranlable de Delson Face aux Refus des Gangs et à l’Indifférence de nos Dirigeants Non-Élus

Les échos du désespoir et de la détermination se croisent dans les mots puissants de Frère Luckson, résonnant depuis les abords de la Fondation Zòn pa fè moun. C’est un cri qui traverse le temps, portant avec lui les tentatives, les épreuves, et la résilience inébranlable de ceux qui se battent pour la dignité et l’avenir des plus vulnérables. Un appel vibrant à la conscience collective, un appel à l’empathie et à l’action face à une réalité déchirante.

Et au milieu de ce tumulte, résonne le « Ouiii » de Delson, tel un éclat d’espoir brillant au sein des ténèbres. C’est un « Ouiii » qui transcende la résignation, un cri de détermination à ne pas accepter le statu quo, à ne pas se laisser décourager par les obstacles infranchissables. C’est un « Ouiii » qui parle de rêves d’enfants, de possibilités inexplorées, et de la croyance profonde en un avenir meilleur.

Cependant, en toile de fond, les gangs sinistres et les responsables non-élus se dressent en opposition. Leurs refus et leur indifférence sont les barrières qui entravent le chemin vers un avenir plus lumineux pour ces enfants. Les rues deviennent le terrain de jeu dangereux pour les gangsters, tandis que l’absence d’action de nos dirigeants non-élus envoie un message d’indifférence insoutenable.

Le cri de Frère Luckson et le « Ouiii » de Delson sont des appels à l’action, à la mobilisation de la société pour changer le cours de cette tragédie en cours. Ils nous rappellent que derrière chaque chiffre, chaque statistique, se cachent des vies humaines qui méritent d’être protégées, soutenues et élevées. L’histoire de la Fondation Zòn pa fè moun est une histoire d’espérance et de lutte, une invitation à nous unir pour dire « Ouiii » à un avenir plus juste, plus sûr et plus éclairé pour ces enfants.

Enfin, il est temps de transcender les « nons » de l’indifférence et de la violence, pour donner vie au « Ouiii » de la compassion, de la solidarité et de l’espoir. C’est un appel pressant à nos consciences, un rappel que chaque « Ouiii » que nous prononçons peut faire la différence dans la vie de ces enfants et dans l’âme de notre nation.

 

Davidson P. David

Apwopo Emmnanuel Hubert

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