En complément alimentaire, les bienfaits de l’artichaut

Originaire du bassin méditerranéen, l’artichaut est un allié pour traiter la dyspepsie. Il s’agit d’un ensemble de symptômes de douleur ou de la malaise de la région supérieure de l’abdomen, avec une origine dans le tractus gastro-intestinal supérieur. En complément alimentaire, son usage est aussi de mise pour soulager les troubles digestifs et potentiellement pour réduire le taux de cholestérol. Son ingrédient actif, la cynarine, fait parti de la famille des polyphénols. En fonction du mal à soulager, la dose recommandée varie, c’est pourquoi il est nécessaire de consulter votre médecin avant de commencer une cure. Si vous souffrez de calculs biliaires, consultez obligatoirement votre médecin.

Posologie de l’artichaut

Traditionnellement, les produits d’herboristerie à base d’artichaut se présentaient sous la forme de feuilles fraîches ou séchées, de jus de la plante entière ou de divers extraits liquides ou solides. De nos jours, on trouve dans le commerce des extraits normalisés à 5 % de cynarine et des extraits secs de feuilles offerts en comprimés ou en capsules, dont le taux d’extraction est de 4:1 (4 g de plante dans 1 g d’extrait) ou, plus souvent, de 12:1. La cynarine est l’ingrédient actif de la plante.

Troubles digestifs (dyspepsie)

Extrait normalisé à 5 % de cynarine ou extrait 12 :1 (1 g d’extrait provient de 12 g de plante). Prendre de 320 mg à 640 mg par jour, en 1 ou 2 doses.
Extrait 4:1 (1 g d’extrait provient de 4 g de plante). Prendre de 960 mg à 1 920 mg par jour, en 1 ou 2 doses.

Feuilles séchées. Prendre 2 g, 3 fois par jour.

Prévoir jusqu’à 6 semaines avant que les effets du traitement se fassent pleinement sentir.

Extrait normalisé à 5 % de cynarine ou extrait 12:1 (1 g d’extrait provient de 12 g de plante). Prendre de 1 800 mg à 3 600 mg, en 2 ou 3 doses par jour.
Extrait 4:1 (1 g d’extrait provient de 4 g de plante). Prendre de 5 400 mg à 10 800 mg par jour, en 2 ou 3 doses.

Description de l’artichaut

L’artichaut, tel qu’on le consomme à table, n’est en fait que le bouton floral de la plante : ces feuilles sont en réalité des « bractées ». Les véritables feuilles, celles qu’on emploie à des fins médicinales, poussent le long de la tige. Elles sont également comestibles (blanchies ou cuites), mais on n’en trouve généralement pas dans le commerce.

Crédit:passeport santé

Créditphoto:aprifel

 

 

Apwopo Angeline Michel

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